02 avril 2007

IA - SHS : Futurs 2.0

Intéressant article de Frédéric Kaplan sur InternetActu.net :
Futurs 2.0 : La société transparente, utopie du 21e siècle ?.
Nous ne sommes pas les premiers à nous interroger sur le futur, à tenter de le décrire. Nos bibliothèques contiennent de nombreux récits futuristes très anciens. Depuis une centaine d’année avec l’avènement du cinéma, le futur a commencé à être mis en image et nous disposons ainsi de visions riches et synthétiques de ce qu’était le futur, avant.
La couverture du livreA l’occasion de la parution de Futurs 2.0
A lire :
- L’ascenseur de la tyrannie ;
- La ville aseptisée de G. Lucas ;
- Les cités simulacres ;
- L’informatique diffuse ;
- La science-fiction parle du présent.
Frédéric Kaplan, chercheur en intelligence artificielle, est l’auteur de Les machines apprivoisées. Après dix ans de recherche au laboratoire Sony CSL à Paris, il dirige une équipe de recherche sur le mobilier interactif à l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL). Il explore depuis une dizaine d’année la manière dont les objets technologiques de demain pourrait être dotés d’une histoire propre, devenir différents au fur et à mesure que l’on interagit avec eux et apprendre les uns des autres constituant ainsi un écosystème en perpétuelle évolution.
Il participe au projet de recherche Inria "Flowers" coordonné par Pierre-Yves Oudeyer dans le cadre de l'Institut.
(Via Internet Actu.)

01 avril 2007

DIV : Ethique et sciences du comportement.

Le Comité d'éthique du CNRS (Comets) vient de publier ses recommandations sur les pratiques éthiques dans le domaine du comportement humain (accès au document .pdf).
Le COMETS propose ainsi quatre recommandations touchant à la notion de risque psychique, à la veille scientifique et éthique, à la formation des chercheurs en sciences di comportement, au dialogue avec les citoyens.

DIV : Les cours du MIT.



Accéder aux cours du MIT en accès libre sur internet.

IA - SHS : Les robots inventent le langage.

Chronique de InternetActu sur les robots et le langage.
epflsbotforaging.jpgUne équipe de chercheurs suisses, composée des roboticiens Dario Floreano, Sara Mitri, et Stéphane Magnenat ainsi que du biologiste Laurent Keller, a étudié la communication entre des ‘essaims’ de robots, pour découvrir que ceux-ci étaient capables de faire évoluer un langage de leur cru, en fonction des pressions d’une ‘évolution artificielle’. Cette expérience peut aider à élaborer un possible scénario sur la naissance du langage, mais permet aussi d’envisager, d’un point de vue plus pratique, le développement de comportements plus complexes chez les robots.

DIV : Poisson d'avril !


Le 1er avril, ou « jour des fous », permet à ceux qui n'acceptent pas la réalité de la voir autrement, et d'accrocher à l'école des poissons de papier dans le dos des professeurs pour en rire gentiment. C'est l'occasion dans le monde entier de faire des farces et de berner les naïfs en leur racontant des fadaises, pour s'en moquer après coup.
La tradition du poisson d'avril serait née en 1564, année où fût modifié le calendrier : jusque là, ce dernier débutait le 1er avril et coïncidait avec l'arrivée du printemps. Charles XI pris alors la décision de faire démarrer l'année le 1er janvier.
Ceci n'empêcha pas les nostalgiques de continuer à se faire des cadeaux. Et comme ce n'était plus le vrai début de l'année, on pris l'habitude de se faire des faux cadeaux, des cadeaux pour rire. C'est à partir de cette année là, dit-on, que tout le monde, grands et petits, a pris l'habitude de faire des farces et blagues.
Voilà pour la date ; mais pourquoi le poisson ?
Les explications varient. Certains prétendent que c'est parce qu'au début du mois d'avril la lune sort du signe des poissons du zodiaque. Pour d'autres, avril correspondant à la fin du Carême durant lequel la viande est interdite chez les chrétiens, et le poisson recommandé, on aurait continué d'offrir du poisson après le Carême. Enfin, en France, la pêche étant interdite pendant la période de reproduction, certains farceurs s'amusaient autrefois à accrocher des poissons morts sur les lignes des pêcheurs entêtés.
Dans les pays francophones, la tradition est tenace ; chez les anglo-saxons, on parle d' « april fool's day» (le dupe d'avril), et d'« Aprilscherz » dans les pays germaniques.
N'oubliez pas ce jour qui est avant tout une opportunité aimable et conviviale de se payer la tête de ses meilleurs amis.